Cratere de gaz de Darvaza, Turkmenistan

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dimanche 30 décembre 2012

Le bike trip continue!

4eme journee du periple: Srimangal- Chunarughat, une trentaine de km.
A l arrivee dans la ville on s arrete pour demander ou il y a unehotel. Je vais demander a un endroit et 3 min plus tard lorsque je ressors je trouve un enorme atroupement qui s est forme autour de Stan. En quelques minutes une 50 aine de personnes s est amassee autour de lui, curieuse de savoir d ou il vient, etc... Ils nous indiquent un hotel, mais on fera choux blancs, car la encore ils refusent les couples non maries dans la meme chambre. Du coup Stan dit qu on est maries mais ca ne change rien a la situation! Dehors un nouvel atroupement s est forme. J essaie de faire comprendre que nous sommes a la recherche d un endroit pour dormir. La ils commencent a discuter entre eux puis ils nous disent de les suivrent, ils ont un endroit pour nous. On va marcher quelques minutes puis on arrive dans une espece de caserne. Ils nous ouvrent une portent dans un batiment qui semble inhabite, et nous disent que l on peut dormir ici. On leur propose de l argent, il n en veulent pas, c est gratuit!! La chambre est rustique mais ca nous convient parfaitement.

Cet episode illustre bien la generosite des bangladais. Depuis qu on a commence le voyage a velo, les habitants n on cesse de nous montrer a quel point ils sont genereux, accueillants, souriants. Ils sont tres pauvres mais n hesitent pas a nous aider du mieux qu ils peuvent en nous rendant des services, quittes a refuser l argent que nous leur tendons pour ce service. Les exemples ne manquent pas. Dans un village Dan demande ou peut il acheter un tendeur pour mieux fixer son velo. 2 min plus tard un villageois s amene avec un tendeur; dan lui demande combien il lui doit: rien du tout! Il etait super content de nous rendre le service et ne voulait pas d argent. Un jour je n avais pas assez d argent pour payer des nans, les pains indiens dont je raffole. Le mec me dit beh c est pas grave, repasse plus tard pour me donner les sous y a pas de probleme. Le truc qu on ne verrai pas en france! Quant on demande un renseignement les gens sont tres contents de nous aider, et souvent ils viennent spontanement nous demander si on a un probleme ou si on a besoin d aide pour quelque chose, quitte a nous accompagner eux meme a l endroit ou on veut aller.
Toutes les 10 secondes un hello how are you retentit a notre passage, dans un village paume ou bien dans la rue en ville. C est de loin le peuple le plus gentil et le plus acceuillant que j ai jamais croise. Il y a tres tres peu de touristes, on en croise peut etre un tous les 3 ou 4 jours. Ca change des autres pays! Du coup les gens sont tres curieux, ils veulent tout savoir de nous. A chaque fois que l on s arrete quelque part un atroupement de forme, et tres vite on se retrouve harceles de question. On se retrouve alors a repeter les meme choses pour la 50 eme fois de la journee. A la longue, c est un peu fatiguant. Mais je suis quand epargnee par rapport aux mecs car les locaux me parlent beaucoup moins, toujours a cause je pense du rapport assez particulier qu ils entretiennent avec les femmes.
Les femmes justement, je pense qu elles ont une situation assez difficile au Bangladesh. On en voit pas trop se ballader toute seules en ville, et celles que l on voit sont voilees de la tete au pieds, ne laissant que leur yeux apparaitrent, du moins les musulmanes, pas les indoues.
5 eme jour: Chunarughat-Brahmanbaria
Nous quittons la chambre mise a notre disposition pour une ville plus au sud, a une 50aine de km. L objectif de la journee est de rejoindre Daniel a Brahamanbaria. Ce dernier a ete malade comme un chien quelques jours plus tot et a pris une journee de repos supplementaire a Srimangal. Il faut dire qu il n a pas ete tres malin: il s est achete plein de legumes qu il a lave avec l eau du robinet, et il les a mange comme ca, sans les peler! On l avait prevenu pourtant. Le resultat a ete sans appel, il a tellement ete malade qu il a du aller dans une clinique du fin fond du Bangladesh pour faire une prise de sang, histoire de voir s il n avait pas contracte le paludisme!
On va pedaler toute la journee, toujours dans les paysages de champs de the et de rizieres. On dit que le Bangladesh est un pays plat, mais bon pour l instant c est un peu les montagnes russes, on monte et on descend les collines tapissees de champs de the. Et quand ca monte pas franchement, c est du faux plat! Ou peut etre est ce moi qui n avance pas... Il faut dire que je ne suis pas une cycliste dans l ame! Et mon velo est super lourd avec mon gros sac accroche sur le minuscule porte bagage. Et en plus de ca mon velo n a pas de vitesse, c est plus une bicyclette qu autre chose! Bon en meme temps je l ai paye 50 euros, donc il ne fallait pas en attendre des miracles! Enfin je n ai pas vraiment d excuses, je n avance pas tres vite et je fais mon boulet lol. Du coup Stan prend de l avance et m attend de temps en temps. A chaque fois que je le rejoint je trouve un moulon de gens autour de lui. Si je vois un attroupement au loin, avec une 50 aine de gens amasses autour de quelque chose, je sais que Stan est la!
Le paysage commence a changer, nous quittons les plantations de the pour des rizieres ou serpentent des rivieres. Je finis par perdre de vu Stan, il m a dit qu il m attendrai au croisement d apres mais a mon arrivee il n etait plus la, j ai du etre tellement lente qu il a du se dire que je suis passee sans le voir! Il faut dire que j ai du faire une pause pour emporter des samosas, des especes de chaussons fourres a la pomme de terre, pour eviter le malaise hypoglycemique. Et oui, dur dur le velo au Bangladesh! J ai du m arreter aussi pour essayer de regler mon frein, ce dernier frotte sur la roue, il est mal regle!! Tu m etonnes que j aille aussi lentement! Bon le frottement est minime, je pense pas que j irai bien plus vite sans ca. A un moment donne je roule sur une espece d autoroute, les camions me frolent ces rats d egouts ne se poussent meme pas alors qu ils ont toute la route pour eux...
A perte de vue le sol est parseme de cultures de differentes couleurs; d immenses pylones electriques sont plantes ca et la; les gens se lavent dans une eau ou flottent les detritus; des hommes lavent leur vache! Sur la route je croise un autre voyageur a velo, vision un peu hallucinante tellement je n ai plus l habitude de voir d autres touristes! Il a l air d un vrai pro, son velo est un vrai velo avec des vitesses et des sacoches et tout, moi j ai l air d une clocharde a cote... N ayant aucun signe de vie de Stan je continue ma route. L enfer commence vraiment: a l approche de la ville la circulation se fait de plus en plus dense. Il y a des centaines de bus, camions, tracteurs qui deversent leur pot d echapement en plein dans ma tete... Quel bonheur! La veille je me suis achetee un masque, et je mets mon echarppe par dessus mais j ai quand meme l impression qu un nuage de fumee rentre dans mes poumouns a chaque fois que je respire... Un vrai delice!
Puis j arrive enfin dans la ville. Ma mission si je l accepte: trouver la gare, car on a rdv a 17h avec Dan la bas. Avec un peu de chance Stan y est deja! Mais va trouver la gare dans une ville gigantesque ou le chaos regne, ou des milliers de gens grouillent comme dans une fourmillere, ou personne ne parle anglais, ou les rickshaws, les bus et les taxis semblent te detester au point de presque te rouler dessus, toi pauvre petit velo sans defense. Heureusement dans ce brouhaha incessant j arrive a faire comprendre a un petit jeune conducteur de rickshaw que je cherche la gare, en disant kotai tren kotai tren, de quel cote est la gare. Il me prend sous son aile et me dit de le suivre, tel un ange tombe du ciel. Et en 15 min, me voila devant la gare! Je le remercie chaleureusement, il m a eviter au moins 2 heures de galeres. Je gare mon velo devant les gens qui commence a former un groupe autour de moi, pour changer! Stan n est pas encore la, mais j imagine qu il sera la a 17h. Puis un homme me demande d ou je viens, et je reponds pour la 50 eme fois de la journee, de France! La il me dit dans un anglais baragouine qu il vient de croiser un autre francais, 5 min auparavant. Quoiiiii mais c est Stan! Il est pas loin! Je demande ou est ce qu il l a vu, et le mec me dit qu il est alle dans un hotel en face de la gare. Je vais aller verifier ca, et bingo, son velo est bien la! Comme quoi des fois ca sert de dire 100 fois la meme chose au gens, si on se perd le bouche a oreille peut fonctionner et on du coup on peut se retrouver comme ca!
Il n est deja plus a l hotel, je laisse mes affaires la bas et je pars a la recherche d un cyber cafe. Je marche un peu, je demande ou je peux en trouver un, un policier me montre une rue. J appercois un endroit ou ils vendent des ordi, je vais voir si c est pas la. Et qui je croise, Stan! Dit comme ca ca a l air de rien du tout mais la ville est gigantestque, le fait qu on se soit retrouve comme ca par hasard dans cet endroit cahotique ,ca releve vraiment du miracle! 30 min plus tard, autre miracle, je croise Daniel a velo. Bon ok on est pas tres loin de la gare, mais quand meme, je trouve que le monde est petit, au fin fond du Bangladesh! Il va mieux et a pris un bus pour nous rejoindre. Mais il en a un peu marre et se plaint enormement. J adore Dan, il est vraiment super sympa mais des fois il m enerve un peu. Il se plaint du manque de variete de la bouffe du pays, il en a marre de manger du riz, il voudrai des vitamines, de la bonne viande, de la vraie bouffe quoi. J ai l impression qu il se croit chez lui a Brooklyn alors qu il est au fin fond du Bangladesh. Et puis il se plaint aussi des gens qui le harcele et qui lui posent plein de questions, que toutes les villes sont exactement les memes au magasin pres... Et puis drame national: le sur lendemain il va y avoir un super match de foot a la tele et il ne pourra pas le voir car ici internet, c est un peu comme gagner au loto, il ne faut pas trop compter dessus! Il en a aussi marre de ne pas pouvoir faire la fete et de ne pas pouvoir s amuser... Bref il en a marre et il pete un cable, ce que je peux tout a fait comprendre car il est vrai que le Bangladesh est un pays ou tu peux autant t eclater comme peter un cable.
Le lendemain nous prenons la route pour Comilla, encore plus au sud. Enfin on y arrivera pas car c est tres loin et on est parti tres tard, vers 11h30 car monsieur nous fait poireauter pour prendre son petit dej et aller mater des sequences de matchs de foot au cyber cafe. En attendant j ai bouffe une 10aine d espece de crepe trop bonnes qui font office de pain ici, la prorata. C est ma nouvelle drogue et il va bien falloir que j arrete d en bouffer avant que je ne devienne obese! J ai bien grossi ces derniers temps, alors que je sors du trek des annapurnas et que je fais du velo tous les jours... Faut vraiment que j arrete de bouffer comme une immmonnnde truie!!!
Bref on met les voiles en fin de matinee et comme la veille on se retrouve sur une route ou le trafic est horrible. On en prend encore plein les poumons mais on se dit qu on ne va pas pouvoir continuer comme ca. Du coup on prend au pif une petite route, qui ne semble aller nulle part. On traverse des champs, des mini digues, des ponts, des petits  villages... Et on apprend que la route va jusqu en inde, a quelques km de la. Un fois qu on est pres de la frontiere on bifurque et on trouve une petite route qui part vers le sud. Parfait! Si on pouvait rouler sur une route comme ca jusqu a Cox Bazard, ca serai vraiment le pied! On croise la route de pleins de gens qui nous regardent tout ebais, et qui nous posent toujours les memes questions: d ou on vient, qu est ce qu on vient faire au Bangladeh, nos metiers... Ils sont adorable, meme si c est quand meme desagreable de devoir subir ce genre de harcelement tout au long de la journee. Dit comme ca je peux paraitre mechante mais les gens qui sont deja alles au Bangladesh et en Inde me comprendront. Pour l instant ca va, je tiens le choc, on verra si c est toujours le cas dans quelques temps! Comme on est parti tres tard on ne peux pas arriver a Comilla, la grosse ville d apres ou il y a des hotel. Du coup Dan commence a stresser pour savoir ou est ce que l on va dormir. Il voudrai que l on s arrete dans une ville ou l on est, a 14h, mais il est bien trop tot pour arreter de pedaler aujourd hui, on va jamais arriver a Cox Bazaard sinon!
Du coup j en profite pour soumettre une idee: on a cas dormir sur la route, dans un village, chez les gens! En effet je suis persuadee que si on frappe a une porte dans un village paume au fin fond de la cambrousse, les gens nous accueilleront les bras grands ouverts. Depuis le debut je suis temoin de la generosite des Bangladais, je suis persuadee que personne ne nous laisserai dormir dehors. Je me demande meme s il accepterai l argent qu on leur proposerai avant de partir.
Dan n est pas du tout a l aise avec cette idee, il n est pas sur du plan. Je l adore mais il n est pas tres aventurier, il a besoin de planifier a l avance et d etre sur que l on soit dans une ville pour y dormir. Moi ca me gave un peu les grosses villes et les hotels, pour ne pas dire ca me gave completement. J ai tres envie de m incruster chez les gens, pour partager leur vie l espace de quelques heures. Je pense que s il y a bien un pays ou tenter l experience, c est bien ici! Dan n est pas convaincu, du coup il demande a une femme dans le groupe qui s est forme autour de nous si on peut aller dormir chez elle. Elle nous dit oui pas de probleme, avec un grand sourire!! Du coup on decide de continuer la route et de s arreter a un moment dans un village pour dormir chez les gens. La route est superbe, il n y a aucune circulation, si ce n est les baby taxi qui sont decidement departout et les velos qui essaient de slalomer entre les nids de poule. Les routes sont defoncees, mais bon c est ca l aventure!!
On fini par arriver dans une autre grande ville, avec hotel. La Dan nous dit qu on ferait mieux de s arreter ici, et que franchement il ne voit pas pourquoi on irai dormir chez l habitant, autrement que par necessite, genre  si on est au milieu de nulle part, vraiment si on est oblige. Moi c est exactement le contraire que je ferai, pas par necessite mais par curiosite. C est a ce moment la que j ai compris qu on etait vraiment pas sur la meme longueur d ondes. Je realise que je ne pourai jamais vraiment vivre mon mois au Bangladesh a fond si je reste avec un groupe qui n a pas les memes envies que moi. J ai vraiment eu un coup de coeur pour ce pays et j ai peur de passer a cote de plein de choses, au point de vue humain, si je reste en groupe. De plus ca fait quelques temps maintenant que je voyage avec d autres personnes et je pense que je rentre dans une periode ou j ai besoin d etre toute seule, je sais que d autres voyageurs sont comme ca aussi, que parfois ils ont envie de se retrouver seuls. Et puis il ne faut pas oublier que a l origine je suis une solitaire, c est dans mon caractere, c est pas a 30 ans que je vais changer ca et j en ai pas du tout envie de temps en temps. J aime partager mon voyage avec d autres personnes mais a un moment donne j ai aussi envie de me retrouver seule. Du coup je laisse tomber mon histoire de dormir chez l habitant pour l instant, devant le manque evident de motivation de daniel.  Je leur annonce que je prefere partir de mon cote, ils sont un peu surpris mais se rendent a l evidence, c est un vrai besoin que j ai,  et comprennent. Peut etre qu on se recroisera a Cox Bazaard, qui sait!
Le lendemain je reprends la route a 7h30, c est tres tot par rapport aux horaires qu on avait dans le groupe, mais j aime bien partir tot. Et puis comme j avance a 2 a l heure, j ai plus d heures dans la journee pour rouler! Je n ai pas tres bien dormi car j etais bien trop exitee a l idee de partir seule sur mon velo a l aventure, sur les routes du Bangladesh. J espere que ca va bien se passer et que je ne vais pas avoir de problemes, mais je suis assez confiante, j ai pu observer les bangladais pendant deja une 10aine de jour et je ne pense pas craindre grand chose toute seule. Apres je ne suis pas naive, je reste sur mes gardes bien sur, je ne suis pas tombee de la derniere pluie non plus.
La route est encore super tranquille, comme la veille. La brume matinale regne sur les champs, il reigne une atmosphere quasi irreele. Les villages que je traverse sont deja tres animes: les bouiboui installes le long de la route font cuire leur super pains, les hommes vont aux champs armes de leur serpette ou je ne sais plus quoi, les enfants prennent le chemin de l ecole en courant et en riant. Je m arrete dans un bouiboui prendre un cha, un the. Moi qui n aime pas le the d habitude j en rafolle maintenant, il faut dire qu ici le the c est du milk the, du the avec du lait, super bon. J ai decouvert ca au nepal et ici ils font le meme. Comme d ab un groupe d une 30 aine de curieux se forme autour de moi. Le patron du bouiboui demande a tout le monde de reculer pour me laisser tranquille. Comme personne n obtempere, il prend un bassine d eau et arrose le groupe! Effet garanti, tout le monde recule, morts de rire. J essaie de baragouiner quelques mot de Bangla a l aide de mon lonely planet mais je ne dois pas tres bien prononcer les mots, d une part parce que personne ne comprend mais aussi parcequ ils sont ecroules de rire. J arrive quand meme a comprendre qu il faut encore faire une 20 aine de km avant d arriver a Comilla. Le hic c est que mon velo couine de plus en plus, et la petale coince de temps en temps... J espere pouvoir trouver un reparateur de velo dans la ville!
J arrive la bas en fin de matinee. Apres avoir pose mes affaires dans ma chambre d hotel je me mets a la recherche d un cyber cafe. Quel aventure! La ville est immense, c est comme si je cherchais une aiguille dans une motte de foin. Apres une heure de galere a eviter de me faire ecraser comme une crepe par les chauffeurs fou des baby taxi, je trouve enfin un cyber cafe, alors que je suis passee au moins 3 fois devant. Non mais quel boulet! Il faut dire qu ici les panneaux sont en Bengla, pas en anglais. Alors ca aide pas trop. 
Dans la rue l anbiance est electrique. Il y a une manifestation, une 100aine de personnes hurle des paroles remplies de colere... Je demande pourquoi ils manifestent, le mec du cyber cafe me dit que c est pour des raisons politiques. Plus tard je me mets en route pour des ruines, les Mainimati Ruins. D apres le lonely planet il faut y aller. Je fais 10 km de plus pour trouver ces ruines, et quand je les trouve je suis super decue, ca n a pas vraiment d interets, sauf si on est vraiment feru d archeologie. Tout ca pour ca!
Dans les plantation de the, pas facile de tenir la camera d une main et de devaller la pente sans se crouter!

 
 
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 Un bouiboui le long du chemin, comme il en existe des milliers d autres au Bangladesh. Bon faut pas trop regarder l hygiene mais ils font souvent du tres bon the et des supers bons prarata!
 
 
 
 
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 Ces femmes font peser leur recolte de the pour se faire payer ensuite.
 
 
 
 
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Le groupe de villageois qui nous a trouve la chambre gratos dans une ancienne caserne.



 
 Video d un des nombreux atroupement qui se forme autour de nous a chaque fois qu on s arrete quelque part.
 
 
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 Dans un autre bouiboui.
 
 
 
 
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 Dan s essaie au lance pierre.
 
 
 
 
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